Paroles de mon Maître
J'ai écrit, en commentaire, "Vivement que Gavin rentre à la maison. Même si la patte c'est ce qu'il y avait de plus facile à soigner !"
Zoé, la Maîtresse de Gavin, a répondu : "Et je crois que vous êtes le seul à en tenir compte, d'après ce que je lis […]. Nous sommes aussi conscients que tout n'est pas terminé, loin s'en faut ! Ce que je reproche aux médecins humains et vétérinaires, c'est justement ça ! Ils traitent au cas par cas, par symptôme qui amène une consultation. Mais la vue d'ensemble et prise pour compte n'est plus là ! Dommage !"
Non, Zoé, je suis absolument certain de ne pas être le seul à savoir qu'opérer Gavin pour réduire la fracture était dangereux mais indispensable. Dangereux à cause de l'état de santé de Gavin mais indispensable pour que sa patte puisse au plus vite fonctionner normalement et ne plus le faire souffrir. Pas le seul à savoir que tous les autres problèmes de santé qui ont beaucoup affaibli Gavin, et ont peut-être contribué à la fracture, ne sont pas réglés pour autant. Mais nous sommes tous différents et chacun a sa façon de vous encourager. Quant aux médecins et vétérinaires, nous avons la chance d'avoir une vétérinaire, "ma docteure" dit Frimousse, que nous connaissons depuis longtemps et en qui nous avons toute confiance. Elle a soigné Jump, le colley, épileptique de l'âge de 2 ans à sa mort 10 ans plus tard – c'était il y a un peu plus de six ans – puis Minou, le siamois, puis Frimousse et même RouXy, le chat de nos voisins. C'est elle qui nous a "conseillé" de garder le petit chat trouvé, Tigri : "je vous le vaccine ?" Peut-être lira-t-elle ces lignes… Je souhaite que votre vétérinaire puisse rapidement trouver un traitement efficace pour l'état de santé de Gavin.
Moi, Frimousse, je comprends pas tout ce qu'il a écrit, mon Maître. Ce que je veux c'est que Gavin guérisse.